CE WEEK-END, ON CODE LES LÉGUMES DE LA VILLETTE (SI,SI !)
♫ Voilà l'été / Enfin l'été / Toujours l'été / Encore l'étéhéhééé ♫
Lorsque lorsque l'été arrive, vous sortez bêches et rateaux et plongez vos mains dans le terreau ?
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♫ Voilà l'été / Enfin l'été / Toujours l'été / Encore l'étéhéhééé ♫
Lorsque lorsque l'été arrive, vous sortez bêches et rateaux et plongez vos mains dans le terreau ?
En atelier, Florian voulait créer un jeu avec son propre univers. Il a commencé à choisir parmi les personnages celui qui lui plaisait. Animaux, satellites ou encore super héros ? Florian décida de raconter l’histoire d’un petit singe qui devrait attraper des bananes pour survivre.
Il s’est ensuite imaginé un paysage dans lequel son singe s’épanouirait : un parc ensoleillé qu’il s’est amusé à dessiner lui-même avec l’ordinateur.
Grâce au code et à sa réflexion, il a donné vie à son histoire. Il a créé une fonction de clonage pour que la banane jaune créait d’elle-même un nouveau clone sans avoir à programmer une centaine de fois la même banane. Astucieux, non ?
Parce qu’il voulait faire comme les grands, il a programmé des niveaux au début de son jeu. Il a créé quatre niveaux de difficulté : facile, moyen, dur, très dur. Mais il ne s’est pas arrêté à la simple création de niveau car plus le niveau est difficile plus le singe ralentit dans son aventure.
Pour rendre son jeu encore plus complexe, il a créé des bananes empoisonnées que le singe devra éviter pour survivre. Attention, ne vous y méprenez pas !
Florian a programmé deux variables. L’une pour qu’à chaque fois que le singe touche une banane verte, il ralentisse pendant 5 secondes et l’autre pour comptabiliser les vies. A chaque fois que le singe touche une banane verte, il perd une vie.
Florian s’est amusé à créer pas à pas le jeu auquel il voulait vraiment jouer. D’une simple idée, il a réussi à faire évoluer son jeu grâce à sa créativité et sa réflexion. Maintenant, c’est à vous de jouer ! Testez par vous-même son jeu pour vous rendre compte du résultat !
A votre avis, que peut-on faire avec une boîte de Lego WeDo, un ordinateur, et beaucoup d’imagination ? … C'est ce que vous allez découvrir dans cet article !
Déjà initié à la création de jeu, les makers découvrent une nouvelle approche du coding. En atelier Lego, les enfants sortent de leur écran d’ordinateur pour laisser place à des constructions Lego qu’ils s’amusent à programmer ensuite.
Les Lego ? Tout le monde connaît ces jouets légendaires sous forme de briques que l’on doit assembler pour faire des constructions. Lego WeDo c’est aussi des briques mais pas seulement.
Ce kit éducatif adapté aux 8 ans a pour but d'initier les enfants à la programmation de robots et à la mécanique. En plus des briques, il contient des éléments comme des moteurs, des capteurs de mouvement et d’inclinaison, des engrenages, etc. Autant d’objets qui vont permettent aux enfants de programmer ce dont ils ont envie.
C’est parti pour la première activité de Lego Coding ! Les makers sont prêts, les Lego WeDo sont en place, l’ordinateur est allumé… et en avant la créativité !
Les enfants commencent par découvrir le fonctionnement de Scratch et des capteurs Lego WeDo. Après quelques minutes d’appropriation, ils expérimentent les capteurs et moteurs Lego WeDo. Certains s’amusent à construire des avions, d’autres construisent des animaux et on en voit même quelques uns démarrer par des voitures !
Après avoir pris possession des Lego WeDo, un petit challenge s’impose ! Les makers, tout excités, se tiennent prêts à relever le défi. Qui sera le premier à faire tourner le moteur durant 3 secondes à force 100, faire jouer un son et pour finir faire tourner dans le sens inverse le moteur à force 50 durant 1 seconde ? Plutôt costaud ce défi, non ?
Mais les makers ne se laissent pas surprendre et se lancent corps et âmes dans ce challenge. Ils expérimentent ainsi les réactions et le fonctionnement des capteurs le tout relié à Scratch. Et nombreux ont remporté la victoire ce jour-là !
Animaux ? Robots ? Machine ? Les makers sont libres d’inventer l’objet programmable qu’ils veulent. Et durant cet atelier, ils n’ont pas manqué d’imagination !
Guillaume s’est amusé à construire une plateforme en Lego avec un bonhomme suspendu. Mais ce n’est pas tout, grâce au capteur de mouvement, il a donné vie à son personnage. Incroyable ! Lorsque Guillaume passe sa main devant le capteur, son bonhomme se met à tourner. Et parce qu’il voulait aller plus loin dans sa réflexion, il programma dans Scratch son bonhomme de sorte à ce que quand il appuie sur la touche A de son clavier son bonhomme s’arrête. Grâce à ces deux outils, son histoire prend vie.
Alexandre lui, sest 'amusé à créer une manette pour piloter son jeu dans Scratch. Il a utilisé le capteur d’inclinaison pour diriger son chat. Avec sa manette, il déplace son chat sur l'écran et repousse l’ordinateur vers les murs. Génial !
Mais les mieux placés pour en parler, c’est les makers !
Pour finir l’atelier, les enfants ont regroupé leurs constructions Lego pour construire un projet géant. En faisant preuve de réflexion et de créativité, ils ont réussi à faire déclencher des actions qui s’enchaînent au fur et à mesure.
Adrien a ouvert le spectacle avec sa voiture intégrée d’un capteur de distance qui a ensuite déclenché la roue d’Alicia grâce au capteur de mouvement. Pour rendre le jeu plus fun, ils ont même intégré une cascade de dominos qui déclenchent la voiture de Georges.
Après plusieurs tests, la magie a opéré ! Joie, crie et rire étaient au rendez-vous. Un moment de partage et de création que les makers n'oubliront pas !
Ambassadeurs de la Code Week Europe pour la France, nous voulions proposer un événement qui nous emmène explorer de nouveaux territoires avec la programmation. Nous avions déjà fait des ateliers Découverte tout le mois de septembre, où nous initions les enfants à la programmation créative avec le logiciel Scratch. Cette fois-ci, nous avons proposé aux parents de se joindre aux enfants dans l’expérimentation : se poser des questions et essayer et trouver des solutions ensemble. Et nous avons proposé des activités différentes, avec des objets connectés (Plugged !), ou carrément sans ordinateur (Unplugged !). Un beau succès !
Arduino est à l'électronique ce que Scratch est à la programmation : un moyen simple et accessible de créer grâce à la technologie.
Dans nos ateliers nous créons des jeux avec Scratch, et nous y jouons directement avec l'ordinateur. Grâce à Arduino, nous allons faire interagir ces jeux vidéo avec des objets électroniques que nous aurons construits et programmés nous-mêmes. Les enfants ne vont plus jamais regarder une télécommande de la même manière !
Lors du stage des vacances de février, j'avais mis en ligne un roman photo pour partager en image les bons moments de la semaine. Cette fois-ci, c'est Julie Tomeï, journaliste, qui s'est chargée de faire un reportage télé ! Il a été diffusé dans l'émission "La nouvelle édition" du mercredi 23 avril, en illustration d'un sujet qui fait débat en ce moment, l'apprentissage de l'informatique pour tous.
En ce moment en atelier, nous sommes partis sur une grande aventure : un projet “libre”. Libre ? Libre parce que les enfants décident de A à Z de ce qu’ils veulent faire et comment mener à bien leur projet sur plusieurs séances, tout seul ou en groupe, comme ils l’entendent !
Après les ateliers que nous avons faits jusqu’à présent, et nos explorations autour des histoires ou des jeux vidéo, les enfants ont maintenant acquis des bases et des idées, à la fois de ce qu’ils peuvent faire, et de ce qu’ils aiment faire. Mon rôle maintenant, c’est de les aider à avancer, en les laissant maîtres de leur projet, autonomes et pleins d’imagination.
Nous avons commencé par réfléchir : qu’avaient-ils envie de faire ? Qu’est-ce qui leur avait plu le plus dans ce que nous avions expérimenté? J’étais très curieuse de voir ce qu’ils choisiraient de faire.
Plusieurs n’ont pas hésité une seconde. Ils avaient vraiment envie continuer le labyrinthe qu’ils avaient démarré lorsqu’on a commencé à travailler sur les jeux vidéos. Ils voulaient y passer le temps nécessaire pour ajouter tous les éléments qui leur semblaient indispensables pour que leur jeu soit un “vrai” jeu : ajouter des niveaux, avec des difficultés nouvelles à chaque fois, et des enjolivures qui donnent envie de jouer.
Un travail de longue haleine, et qui les emmène naturellement vers une organisation de leur code plus modulaire : ce qui marchait pour un niveau, comment l’adapter et le réutiliser aux niveaux suivants ?
Certains ont eu envie de recréer un jeu auquel ils aiment jouer. Anne a démarré avec sa copine Anna sa propre version de Mario. Dans leur jeu, c’est Peach, la princesse rose, qui doit délivrer Mario. Logique, n’est-ce pas ?
Savoir que l’on peut reconstruire un jeu, c’est un peu la version numérique de “démonter son jouet mécanique pour le remonter”. Surtout si on le remonte en le mettant à son goût.
Un groupe de quatre s’est formé naturellement : ils avaient envie de créer une histoire, en créant et photographiant les personnages et les décors avant de les animer dans Scratch.
Leur imagination s’est enflammée pour recréer un livre de la jungle, et ils ont commencé à réfléchir sur le scénario. Puis ils ont identifié comment fabriquer leurs accessoires, y compris des masques pour les animaux sauvages, et demandé ou apporté eux-mêmes le matériel.
Ils vont maintenant passer du temps pour travailler les images avant de les intégrer dans Scratch et de coder les étapes de l’histoire.
Je suis vraiment curieuse de voir le résultat… pas vous ?
Pour les vacances de printemps, les stages Magic Makers auront lieu du 14 au 18 avril 2014.
Nous pouvons vous proposer plusieurs lieux et plusieurs horaires, et nous aimerions savoir ce qui vous convient le mieux.
Pour les vacances de février, le stage c'était 5 jours pleins, avec Ayn de KidsCreate, un mélange de programmation créative et d'anglais... très fun !
Et voici le petit roman photo de nos vacances créatives...
Le premier jour les enfants ont découvert Scratch. Pour se mettre en jambe, nous avons fait nos auto portraits, old school à la main :
et version animée avec Scratch :
Alors, vous avez trouvé qui est qui? Pour se dégourdir les jambes, après une grande ballade au square, le jeu de rôle du langage de programmation nous a bien amusés.
Pour se familiariser avec Scratch et ses possibilités, les enfants se sont pris pour des artistes : mélanger des images, les animer en explorant les possibilités, ça donne des choses rigolotes.
Les enfants se sont amusés à tester le Makey Makey : quels objets conduisent suffisamment le courant pour être utilisés comme joystick ? Les bonbons c'est pas mal, même si le réglisse ne marche pas. Quant aux touches en papier d'aluminium, ça c'est un "safe bet" !
La vidéo teaser du Makey Makey nous a donné plein d'idées :
Et l'après midi, nous avons continué la veine artistique avec un cadavre exquis surréaliste :
Et sa version programmation : comment continuer l'histoire commencée par d'autres ? Ça donne ça :
Premier projet personnel d'envergure : raconter une histoire, en ayant créé ou détourné ses propres images.
Des histoires toutes différentes, regardez par exemple celle de Victoria :
Et les autres aussi sur le studio Scratch:
Une pause bienvenue : une partie de Twister en anglais "Left foot on the yellow !", "Right hand on the green !", "Right foot on the blue !",
et ... patatras !
Pour se détendre, créer avec ses mains : les enfants ont fabriqué leur version de Scratch le chat en patareve.
On commence par un labyrinthe, à chacun sa version :
Et les enfants y jouent avec les joysticks fabriqués maison grâce au Makey Makey :
Une nouvelle version de Scratch le chat : en perles de plastique cette fois:
Instant de gloire, le grand frère qui joue avec les jeux créés la veille! Pendant ce temps, le plus jeune code avec Hopscotch, variante simplifiée et tactile sur Ipad.
On démarre studieusement par un peu de vocabulaire en anglais sur les jeu, et en vidéo s'il vous plaît :
Pour finir le stage, inspiration libre pour créer ses propres jeux vidéo en travaillant seul ou à plusieurs... c'est le début, mais ça prend forme.
Comment vont-ils continuer ? C'est définitivement à suivre! En attendant, retrouvez plein d'autres photos sur le blog de kids Create.